La période de volatilité des cours attendue est engagée depuis fin avril. Elle trouve comme prétexte le bras de fer politique entre l’Europe et la Grèce. La menace d’un défaut financier mal maîtrisé fait remonter les taux obligataires et par éviction, pèse sur les marchés actions.

A cela ajouter, aux US : le repli du PIB au 1er trimestre et la baisse de l’indice de confiance dans l’industrie ; en Chine : le ralentissement économique qui freine toute la région asiatique. Les marchés trouvent alors les raisons de corriger un début d’année trop enthousiaste.

Pour autant, sauf dérive géopolitique encore inenvisageable, le dossier grec semble encore secondaire par rapport aux fondamentaux économiques plutôt bien orientés en Europe et dans le monde : croissance, profitabilité, consommation, confiance, capitaux.

On surveillera le consensus cherché sur la Grèce dans les prochaines semaines et la délicate politique de remontée des taux aux US dans les 3 prochains mois. Mieux vaut conserver les positions, voire renforcer progressivement les parts Actions Europe ou Structurés.

 


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